• Bon ce matin, j'essaie de trouver des infos sur les substituts nicotiniques (eh oui arrêter de fumer c'est à la mode) puis je clique sur yahoo avec un billet sur la grippe aviaire...Donc si t'échappe au cancer du poumon, t'as le droit de mourir d'autre chose...Alors à quoi bon de cesser de cloper, puisqu'on peut mourir d'autre chose...de malboufe, de contamination nucléaire, de pollution, etc...hein ?
    Je le redis, fumer c'est pas bon pour la santé, et faut respecter son entourage, mais faut arrêter de prendre les fumeurs pour des terroristes..arrêter de les prendre pour des proies faciles, car en ce qui concerne la pollution, y'a d'autres secteurs bien plus nocifs que la clope. Mais bon l évidemment les pouvoirs publics chient dans leur froc, car s'attaquer à la bagnole, à l'industrie c'est moins facile que de s'en prendre aux fumeurs...Etat : dégonflé...

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  • Et bien c'est fait..Notre Astérix national, notre pourfendeur de Mac Do et de champs OGM, notre altermondialiste charismatique, notre paysan du Larzac, notre ancien prisonnier politique...José Bové, se lance sur les chemins sinueux de la campagne présidentielle...En espérant qu'il recueille les 500 signatures nécessaires...
    Enfin ceci dit, j'avais dit que je voterais pour personne...et bien je crois que je risque de réviser mon jugement s'il se présente....

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  • PARIS (AFP) - La Fondation Abbé Pierre, dans son rapport 2007 sur le mal-logement publié jeudi, dénonce le décalage qui s'est creusé ces dernières années entre la production de logements neufs et les besoins sociaux de la population.
    "On construit 76% des logements pour le tiers de la population le plus aisé", résume Christophe Robert, de la Fondation Abbé Pierre, qui accuse les pouvoirs publics d'avoir été "myopes aux besoins sociaux" au cours des dernières années.
    "Société et logement connaissent des évolutions inverses", souligne la Fondation dans son 12e rapport annuel: d'un côté la demande se fragilise, de l'autre le logement connaît un renchérissement et devient inaccessible au plus grand nombre. "Les classes moyennes sont dupées et les classes populaires sont oubliées", souligne le rapport.
    Même si en 2006 comme en 2005, les mises en chantier ont atteint des chiffres record depuis 25 ans (respectivement 430.000 et 410.000), la part des logements qui seront attribués sous conditions de ressources ou à des loyers inférieurs à ceux du marché ne représente que 41% de la production, contre 67% en 2000.
    La Fondation souligne par ailleurs que la progression globale du nombre de logements sociaux financés depuis 2004 "tient essentiellement à l'augmentation de l'offre locative intermédiaire (...) inaccessible à la grande majorité des 1.300.000 demandeurs de logements sociaux".
    A l'inverse, le nombre de logements construits destinés à des ménages qui peuvent se loger sans aide a plus que doublé, passant de 100.000 en 2000 à 260.000 unités en 2006.
    "Il ne faut donc pas s'étonner du décalage considérable entre l'appréciation favorable de la situation, émanant des responsables de la politique du logement, et celle des Français préoccupés par la rareté des logements proposés à des prix abordables", souligne le rapport.
    Que ce soit dans le secteur locatif public ou privé, la dérive est la même. A titre d'exemple, la Fondation cite le cas de Lyon : aujourd'hui, seulement 6% des logements privés ont un loyer de niveau HLM, contre 50% en 1990.
    A cet égard, la Fondation accuse l'Etat d'avoir affecté, ces dernières années, les ressources publiques à promouvoir des produits immobiliers qui ont contribué à l'affaiblissement du rôle social du parc privé. Ainsi, souligne-t-elle, le dispositif "Robien" a-t-il contribué à la hausse des loyers privés.
    La dégradation des situations sur toute la chaîne du logement, souligne-t-elle, a "des effets dévastateurs pour les plus fragiles" contraints de se loger dans toutes sortes d'habitations "indignes" : squats, bidonvilles, campings, caves...
    L'"imprécision" des chiffres de ce "non-logement", ajoute la Fondation, ne doit pas conduire à minorer l'importance du phénomène. Elle en veut pour preuve, par exemple, la "flambée" des demandes de domiciliation administrative et postale.
    Selon Christophe Robert, ce type d'inscriptions auprès des associations est passé du simple au triple en cinq ans : à La Rochelle, l'association l'Escale a reçu 1900 demandes de domiciliation en 2006 contre 350 dix ans plus tôt.
    Une deuxième mesure, a-t-il précisé, est l'inscription à l'école d'enfants qui n'ont pas d'adresse: en Seine-Saint-Denis, ce serait le cas de 20.000 enfants.

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  • Un peu d'histoire...La TVA est apparue en 1954 et a germé dans le cerveau de Maurice Lauré...Lauré était un haut-fonctionnaire de l'Etat et directeur adjoint de la Direction générale des impôts (on s'en serait douté)....
    les recettes nettes de TVA se sont élevées à 120,96 milliards d'euros en 2004, soit 45,5 % des recettes fiscales nettes de l'État .Elles sont évaluées à 126,4 milliards d'euros pour 2005 et à 125,78 pour 2006....
    La TVA est donc un impôt qui rapporte beaucoup à l'Etat...beaucoup d'argent....mais cet impôt est aussi un impôt payé par tout le monde quelque soit le revenu Ainsi un SDF, comme un milliardaire va payer la TVA à partir du moment où cette personne achète quelque chose....Cet impôt touche toutes les classes sociales, toutes les couches sociales et du rmiste au Bobo, tout le monde le paye...et justement c'est bien la l'injustice de cet impôt...Puisque a priori, certaines personnes ne payent pas d'impôt sur le revenu, pourquoi devraient-ils payer la TVA ? Mais cet impôt sous une forme indolore (on vous encule avec de la vaseline)..n'apparaît pas vraiment comme un impôt et pourtant s'en est bien un...et de plus un impôt inéquitable...
    Pourquoi es-ce que les pauvres, les classes populaires devraient payer le même impôt que les riches ??????? Sachez que cet impôt va dans le budget de l'Etat et donc sert à payer des fonctionnaires, des administrations, l'armée, la police, l'Ecole...Or nous savons que les riches sont plus aidés par l'Etat, on plus besoin des administrations et des services de l'Etat (ne serait-ce que la police pour protéger leurs biens)...Les pauvres habitent dans des cités d'ou l'Etat justement s'est retiré..comme dans certaines campagnes d'ailleurs..Pourquoi payerons-nous un impôt pour des choses dont nous n'avons pas besoin (l'armée), ou dont on nous prive (des services administratifs compétents, une école de qualité)...Hein pourquoi ???? Ah j'oubliais juste que l'impôt est juste un racket organisé...Racket au sens que nous somme obligé de payer sinon l'Etat envoie sa police-milice ainsi que ses huissiers-collabo....
    A l'heure ou l'on parle d'ISF etc..de travailler plus pour gagner plus...il serait peut-être temps de revoir le fonctionnement de cet impôt inégalitaire....

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  • LE SCOOTER D'UN FILS SARKOZY VOLE A NEUILLY, TROIS JEUNES ARRETES

    BOBIGNY (AFP) - Trois jeunes soupçonnés d'avoir volé à Neuilly-sur-Seine le scooter d'un fils de Nicolas Sarkozy ont été arrêtés en Seine-Saint-Denis, grâce à des recherches d'empreintes et d'ADN, et mis en examen à Bobigny, a-t-on appris de sources proches de l'enquête.
    Un policier, interrogé sur la célérité de l'enquête et les moyens mis en oeuvre , a souligné qu'elle avait été "bien menée" avec les moyens "classiquement utilisés". Interrogé par l'AFP, un porte-parole du ministère de l'Intérieur s'est refusé à tout commentaire sur cette affaire.
    Le scooter, déclaré volé le 7 janvier, a été retrouvé dans la nuit du 17 au 18 janvier à Bobigny. Un relevé d'empreintes et deux prélèvements d'ADN ont permis l'interpellation mardi et mercredi de trois personnes, deux mineurs de 17 ans et un majeur de 18 ans, à Bobigny et Montreuil. Les trois jeunes gens, dont deux étaient connus de la police, ont reconnu le vol, selon une source proche de l'enquête. L'un des mineurs a été condamné une fois, le casier judiciaire de l'autre est vierge.
    Ils ont été déférés au tribunal, mis en examen pour "vol en réunion" et laissés libres. Le majeur sera convoqué ultérieurement devant le tribunal.
    Le scooter, un Piaggio 50 cm3, était garé sans anti-vol devant le domicile de la première épouse du ministre de l'Intérieur. Son conducteur était assuré mais pas contre le vol, selon une autre source.

    Bein voilà, la police quand elle veut elle peut hein...Enfin faut s'appeler Sarkozy...Déjà que celui-ci utilise les RG pour épier ses camarades du PS...Maintenant il emploi les Experts made in Paris pour retrouver le scooter de son fiston...Alors maintenant brave gens, la prochaine fois que vous aurez subi un vol de portable, de voiture ou de scooter demandez à l'uniforme qui sert accessoirement de flic de faire un prélèvement ADN ou des recherches d'empreintes...Apparemment pour un simple vol de scooter, maintenant c'est faisable...En plus c'est le genre de truc qui coûte absolument pas cher aux contribuables....Qui a dit qu'il y avait une police à deux vitesses en France ????

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